Affirmant que l’objectif de son discours était de faire respecter la « légalité tunisienne concernant les étrangers » et d’empêcher toute « juridiction parallèle aux juridictions de l’Etat », il a rejeté les « propos malveillants » de ceux qui « ont voulu interpréter le discours à leur guise pour nuire à la Tunisie ».
« Cette situation concernant les Africains ne peut être interprétée par les langues malveillantes, comme ils l’ont fait ces derniers jours, comme du racisme.
De quoi ils parlent ? Ils divaguent », a-t-il ajouté. « Je suis Africain et je suis fier de l’être », a-t-il encore dit.